Noël est toujours une période riche en émotions. Dîners de famille, neige et musique de Noël sont toujours au rendez-vous ainsi que la classique ouverture des cadeaux sous le sapin. Mais quel cadeau choisir pour quelqu’un pour qui l’écologie est un combat ? Quel cadeau écologique lui offrir ? 

Cette année changez d’habitudes et ne partez pas sur un cadeau sexy ou stylé, mais partez sur un cadeau dont votre proche se servira tous les jours ou très régulièrement. Il appréciera d’autant plus l’effort et l’originalité de ce cadeau.

Vous pouvez vous orienter par exemple vers de la vaisselle écologique avec un liquide vaisselle solide, une éponge lavable ou un essuie tout réutilisable. C’est un cadeau écologique très original.

Le côté salle de bain peut aussi être très utile et de nombreuses idées de cadeaux s’y trouvent ! Vous pourriez lui offrir une brosse à dents à tête interchangeable, des cotons lavables, un shampoing solide ou une huile démaquillante solide. Tous ces produits permettent de limiter nos déchets dans la salle de bain en diminuant drastiquement le nombre de bouteilles en plastique jetées et le nombre de produits à usage unique. En offrant ce cadeau vous ferez à la fois plaisir à votre proche, ami ou amoureux mais aussi vous ferez du bien à la planète et à l’environnement.

Vous avez l’embarras du choix puisque les produits cosmétiques solides de qualité sont de plus en plus nombreux.

C’est toujours sympa de recevoir des cadeaux écologiques bons pour les papilles à Noël !

Vous pourriez par exemple offrir du miel bio fabriqué en France, de la pâte à tartiner écolo (sans huile de palme évidemment), des biscuits gourmands fabriqués avec amour en France, du thé, etc.

Nous vous recommandons particulièrement des infusions bio dont les plantes sont ramassées à la main. Certains producteurs pratiquent ce genre de cueillette dans le Massif Central.

Sinon vous pouvez toujours offrir des boissons bio à base de plantes médicinales. Elles remplacent parfaitement les sodas trop sucrés !

Le cadeau gourmand à Noël est souvent très apprécié, vous ne vous tromperez pas !    

Pour ceux qui ont la main verte, vous pourriez opter pour un cadeau zéro déchet pour le jardin. Vous pourriez par exemple lui offrir des graines mellifères pour nos amies les abeilles, des bulles d’arrosage en verre, de beaux outils made in France pour jardiner, des livres sur comment bien jardiner ou pour découvrir la permaculture.

Si la personne à qui vous souhaitez offrir un cadeau est en transition écologique elle ne connaît peut-être pas encore le bee wrap. Le Bee Wrap est un tissu en coton bio enduit de cire d’abeille et de résine de pin. Il remplace le film alimentaire et le papier aluminium. Il est beaucoup plus pratique et écologique car après chaque utilisation vous n’avez qu’à le laver à l’eau froide. Vous pouvez le conserver pendant 2 ans. C’est une très bonne idée de cadeaux pour un écolo qui fera forcément son effet. Les produits zéro déchet pour la cuisine sont de bons moyens de limiter son impact écologique dans la cuisine.

Le Do It Yourself prend de plus en plus de place aujourd’hui et de nombreuses personnes s’y mettent. LEs gens font notamment leur lessive, ou leurs cosmétiques en version DIY. Vous pouvez donc lui offrir un kit pour un produit qu’il ne fait pas encore. Ce qui est très original dans ce cadeau c’est que vous avez tous les composants pour jouer au petit chimiste mais aussi une nouvelle recette que votre proche ne connaîtra pas forcément. En plus de la tester elle élargira ses connaissances sur le sujet ! Un cadeau manuel et sympa qui fera plaisir dans 100% des cas

Offrir un cadeau à un écolo à Noël n’est jamais chose aisée ! Ce que vous devez conserver en tête, c’est que ce cadeau doit à la fois faire plaisir, ne pas avoir un trop gros impact sur la planète et doit aussi être utile. Il ne faut pas que ce cadeau écologique se retrouve sur une étagère à prendre la poussière. Cela produirait l’effet inverse de celui recherché ! Vous avez désormais de nombreuses idées de cadeaux écologiques.

L’agroécologie regroupe l’ensemble des théories et pratiques agricoles inspirées par le souci écologique et la science agronomique ainsi que l’univers agricole. Autrement dit, celle-ci concerne l’agriculture, l’agronomie, l’écologie ainsi que des mouvements sociopolitiques à des fins écologiques.

Découvrir les différents types de pratiques agroécologiques

Les principales pratiques en agriculture responsable sont : l’accroissement de la biodiversité, l’agroforesterie, l’aménagement, le couplage de l’élevage avec la production végétale, l’économie et la modération de l’utilisation en eau et irrigation, l’enseignement agricole adapté aux acteurs agricoles, la fertilisation du sol, les haies vives, la lutte biologique par acclimatation ou inondation, la présence des antagonistes pathogènes, le reboisement des milieux agricoles non utilisés, la réhabilitation des expériences traditionnelles et de la gestion écologique économique, la sélection des produits agricoles en adéquation avec les terrains agricoles, la source d’énergie animale et mécanique, le traitement phytosanitaire naturel, le travail du sol et l’utilisation des plantes comme barrière physique.

En effet, le développement de la biodiversité requiert l’utilisation de la culture associée et la rotation longue pour éviter les monocultures et profiter de la complémentarité des milieux écologiques des différentes espèces. Par contre, l’agroforesterie permet de diversifier les productions, encourager les auxiliaires de culture, fixer l’azote dans les arbres légumineux et gérer les flux hydriques. Puis, le besoin en aménagement permet de maîtriser l’usage des eaux de pluie, lutter contre l’érosion des sols et renforcer la qualité des nappes phréatiques. Aussi, le recours à la pratique du couplage de l’élevage associé avec la production végétale permet de multiplier la production, utiliser les déjections à titre de fertilisant, fournir un moyen de travail et mettre en valeur les résidus de la culture ou les déchets de l’alimentation, voire les espaces à végétation spontanée… Pour en savoir davantage, veuillez suivre ce lien terresagricoles.fr.

Avantages de faire appel à un expert en la matière.

L’expert en question peut vous fournir des conseils ou se former en pédagogie agricole, voire vous recommander des produits agroécologiques appropriés. À savoir, les matériels agricoles, les semences bios, les produits phytosanitaires naturels, la protection de la vue ou respiratoire ou corporelle ou autres. Puis, lesdits produits ou matériels sont fabriqués suivant les normes techniques et légales. Sachez que ceux-ci sont désormais disponibles-commercialisables-commandables en ligne ou physique… Aussi, vous pouvez également mieux comprendre les différentes pratiques agroécologiques. À savoir, le recours a l’agroforesterie, le couplage de l’élevage avec la production végétale, la meilleure sélection des produits agricoles adaptés, la fertilisation du sol, la gestion écologique et économique, le travail du sol, l’utilisation des plantes…

Comprendre l’importance de l’agroécologie pour l’environnement

En premier lieu, il faut comprendre le sens de l’environnement avant de découvrir sa relation avec l’agriculture biologique. En effet, l’environnement désigne l’ensemble des composants (biotique et abiotique) naturels, des activités humaines et les organismes vivants qui interagissent sur l’atmosphère ou l’air ou l’eau ou les espèces animales-végétales et la terre. En second lieu, l’agriculture durable est un ensemble de théories et pratiques conçues pour préserver l’environnement. Pour ce faire, le travail du sol (le non-labour, le paillis, etc.) permet de maintenir les espèces animales ou micro-organismes vivant dans les horizons du sol. Par contre, la fertilisation du sol, par le biais du compost ou du digest ou des engrais verts, et l’agroforesterie garantissent l’alimentation hydrique durable. Puis, le traitement phytosanitaire naturel (comme le push-pull ou le recours aux cultures associées ou autre) s’inscrit dans la lutte contre certains parasites. Aussi, l’usage des plantes à titre de barrière physique permet de limiter le déplacement des ravageurs. En dernier lieu, pour améliorer la qualité du sol, il va falloir introduire des antagonistes pathogènes et ravageurs telluriques, pratiquer les lâchers inondation ou acclimatation, associer différentes variétés adaptées aux zones cultivées, faire des haies vives, reboiser ou régénérer les zones agricoles non utilisées pour ainsi créer des nourritures humaines ou de la pharmacopée naturelle ou des sources combustibles…

Avant d’être réinsérées dans d’autres sources d’eaux, les eaux usées doivent être traitées préalablement. Cette épuration est primordiale pour ne pas polluer les autres bassins d’eaux. Afin de procéder au traitement, il faut d’abord les collecter par l’intermédiaire d’un réseau d’assainissement. Les eaux non traitées proviennent de plusieurs de différentes sources : les sanitaires, l’évier, les eaux de pluie, les effluents urbains… Les établissements d’épuration reçoivent l’ensemble de ces écoulements, accompagnés de débris, de détritus et d’autres déchets. Les eaux usées ne sont pas forcément d’origine domestique, mais également industrielle et agricole.

Transport et acheminement des eaux usées

Avant d’arriver à l’étape essentielle du traitement des eaux usées, les flux sont acheminés à travers des réseaux de canalisations, c’est-à-dire des collecteurs. Le transport des fluides se fait sous l’effet de la gravité et plus précisément du poids. Cependant, dans d’autres circonstances, il peut se faire par principe de refoulement. En d’autres termes, les réseaux d’écoulement sont sous pression ou dépression. Dans des cas spécifiques où les conditions de terrains ne sont pas idéales, les stations effectuent un pompage afin que le transport soit effectif. Souvent, la corrosion et l’encrassement provoquent des dégâts importants dans les réseaux. C’est pour cela que les stations mettent en place des mesures préventives. Elles effectuent ponctuellement un prétraitement des eaux usées : dégraissage, dessablage, dégrillage, etc. Sur le chemin vers les établissements de traitements, des débris et des matières corrosives peuvent contaminer les eaux. Des ouvrages et dispositifs sont alors dispersés en amont pour éviter ces contaminations. Les différents flux – pluviaux, domestique, industriel – peuvent se rencontrer et occasionner des dommages dans les réseaux. Des équipements sont installés au préalable pour anticiper ces éventualités.

Dépollution des eaux usées

Les différents traitements biologiques sur les eaux usées assurent la qualité de l’environnement dans lequel ils seront rejetés. Il existe divers éléments perturbateurs du bon déroulement du processus d’épuration des eaux, notamment les eaux pluviales. La pluie provoquée par les orages entraine une augmentation soudaine du débit et du volume de flux à traiter. Les stations se retrouvent alors vite submerger et les bassins de traitements sont inondés. Il est donc essentiel d’installer des bassins de retenues ou d’infiltration afin de faciliter la régulation du débit vers les stations. Les bassins de décantation permettent de séparer les particules solides et prévenir contre la prolifération de bactéries dans les eaux. Les spécialistes dans le domaine mettent en place des fossés ou des chaussées drainantes pour retenir les arrivées d’eaux en excès dans les réseaux. Les zones de rejets végétalisées permettent de limiter la présence de déchets : organiques, chimiques, pharmaceutiques… Elles participent à la préservation de la biodiversité et l’environnement. Le traitement des eaux usées produit des tonnes de boue qui seront réutilisées dans l’agriculture ou incinérées.

Qualité du traitement des eaux usées

Depuis l’acheminement des eaux usées jusqu’à leurs rejets dans un milieu naturel, plusieurs équipes de techniciens interviennent tout le long du processus. Il s’agit notamment de professionnels (chercheurs, chimistes, informaticiens, mécaniciens, biologistes…) dans un domaine spécifique. Les réseaux de décontamination des eaux usées deviennent de plus en plus complexes avec le temps. Un haut niveau d’expertise et d’expérience dans le milieu. Travailler dans une station de traitement des eaux usées nécessite plusieurs compétences dans différents domaines : ingénieries, hydraulique, chimie, biologie, électronique, mécanique… Les dispositifs et les installations exigent un niveau de sécurité optimale ou beaucoup de rigueur. Chaque année, les centres de recherches trouvent des innovations à apporter aux installations et aux procédés de traitement des eaux usées. L’objectif est d’arriver à limiter les impacts environnementaux et optimiser le processus d’assainissement des eaux. Les recherches s’orientent également vers la diminution des émanations putrides et l’élimination des déchets résultant du traitement.

Les déchets médicaux nécessitent un service de gestion adapté en raison des micro-organismes qu’ils contiennent. Toutes les structures médicales savent que les déchets de soins à risques infectieux doivent être collectés selon une procédure rigoureuse dans le but de respecter les règles d’hygiène en vigueur. Et pour cela, la première étape est de disposer des poubelles et conteneurs spécifiques aux déchets médicaux.

Qu’est-ce qu’on entend par déchets de soins à risques infectieux ?

Les professionnels de santé : médecin généraliste, pédiatre, chirurgien, ou autres produisent des déchets médicaux. Mais il n’y a pas qu’eux, les éleveurs, les pompes funèbres, les établissements scolaires, laboratoires, la municipalité et beaucoup d’autres encore sont susceptibles d’avoir des DASRI. Parmi les déchets qui représentent un risque pour la santé publique, on peut citer ceux catégorisés de mous comme les seringues, les tubulures, les compresses, les pansements, etc. Les aiguilles, les cathéters, les rasoirs, et toutes les catégories de déchets piquants ou coupants en font également partie. Mais encore, les déchets semi-liquides et les déchets anatomiques sont tout aussi dangereux. L’enlèvement de ce type de déchet est réglementé. Même chose en ce qui concerne le stockage, ils doivent être entreposés dans des contenants adaptés. Aussi pour trouver le type de poubelle qui peut accueillir des seringues ou le conteneur dasri convenable, le mieux est passer commande auprès d’un professionnel en gestion des déchets médicaux.

Acheter des poubelles pour DASRI en ligne

Dans le but d’aider les professionnels à se débarrasser efficacement et selon la réglementation en vigueur de leurs déchets de soins à risques infectieux, certaines entreprises spécialisées dans la gestion des déchets médicaux proposent leur service en ligne. Ainsi, il est parfaitement possible de passer commande pour obtenir des poubelles et conteneurs conformes aux normes NF X 30-511 et ISO 23907. Que ce soit une boîte à aiguilles, un fût, un carton plastifié, ou un carton DASRI, il est possible de se les faire livrer en seulement quelques clics. Et bien évidemment, un conseiller est là pour guider le choix dans le cas où la personne n’arrive pas à identifier le type de contenant qu’il lui faut.

Qu’en est-il de la collecte des déchets

Le service proposé par une société de collecte de déchets se fait selon une fréquence définie aux conditions particulières. Il comprend également toutes les étapes de gestion, de la fourniture de contenant jusqu’à la destruction des DASRI en passant par le tri. Il faut toutefois savoir que le professionnel de santé est tenu de fermer hermétiquement chaque conteneur suivant les indications des fabricants. A noter que le conteneur dasri est conçu afin de s’adapter parfaitement au conditionnement des déchets médicaux. Puis, au sujet de la destruction des déchets, la société de collecte les achemine vers des sites de destruction agréés. Et enfin, en cas de doute concernant le tri des déchets, les sites les plus sérieux affichent des conseils précieux sur leurs plateformes pour aider les professionnels à reconnaître la destination de chaque type de dasri. Et en plus de cela, un conseiller reste accessible pour d’éventuelles questions que ce soit par rapport au service ou bien pour mieux comprendre les déchets médicaux.

L’élément le plus important pour réussir un lombricompostage est le ver de terre, qu’il faut placer dans le lombricomposteur pour recycler naturellement des matières organiques. Cela ne vous absout toutefois pas d’un minimum d’effort pour que tout se passe pour le mieux. En effet, quoique l’utilisation des lombricomposteurs ne soit pas bien compliquée, il y a pourtant des gestes d’entretien qui vous garantissent un franc succès et permettent d’éviter des désagréments.

Les bons gestes à réaliser au quotidien

Utiliser un lombricomposteur ne nécessite pas de connaissances techniques poussées. Il suffit de maîtriser le fonctionnement du système et de savoir contourner les difficultés inhérentes. Vous devez toutefois disposer de lombricomposteurs efficaces pour réussir votre projet de lombricompostage, et vous pouvez en trouver certainement sur le site https://www.eco-worms.com/fr/.

Pour décomposer des déchets organiques, il faut au préalable une action de certaines familles de bactéries et de champignons qui ont besoin d’oxygène pour vivre et accomplir leur mission. À cet effet, vous avez besoin de bien aérer votre lombricomposteur si vous désirez une décomposition optimale. Parfois, il ne s’agira que d’ouvrir le couvercle à des intervalles réguliers.

Vous pouvez être amenés à brasser l’intérieur avec un objet non traumatisant pour les vers. Ensuite, il est recommandé de récupérer le lombrithé, une sorte de liquide qui résulte du traitement des déchets par les vers. Cette action permet de limiter en effet le niveau d’humidité dans le lombricomposteur et vous permet de disposer d’un engrais pour faire mieux pousser le jardin.

La récupération se fait suivant une technique précise

Dans un premier temps, le bac le plus caudal (le plus ancien donc) est retiré et placé au-dessus du bac le plus récent qui passe donc en bas, dans un milieu assez bien éclairé. Désormais exposés à la lumière, les vers chercheront à se réfugier vers le bac d’en bas et emporteront avec eux, les déchets qui ne se sont pas encore décomposés.

Vous avez alors l’occasion pour récolter autant de lombrithé que vous le voulez. Vous êtes libre de le faire à la main ou à l’aide d’un outil. Mais attention, il faut que vous vous arrêtiez à la vue d’un ver ou d’un œuf afin de les placer dans le bac d’en bas. Quand vous avez terminé, séchez ce que vous avez pu recueillir ! D’éventuels lombricomposts qui subsisteraient doivent être placés dans le bac récemment installé.

Quand et comment installer les bacs ?

Un lombricomposteur est généralement constitué de plusieurs niveaux représentés par des bacs ou des plateaux que vous devez installer au fur et à mesure que vous avez besoin de plus d’espaces pour vos déchets. Pour le premier niveau, celui avec lequel vous acquérez le lombricomposteur, vous devez installer une litière, puis les vers que vous allez recouvrir d’un tapis d’humidification et d’un couvercle. Quand il est plein, un deuxième bac doit être placé au-dessus.

Avant de déposer vos déchets sur ce dernier, il est essentiel d’ajouter un peu de lombricompost et de retirer le tapis d’humidification de l’ancien bac pour le placer dans le nouveau. Généralement, lors du remplissage de votre troisième bac, le compost du premier est déjà prêt à être retiré et le bac est ainsi prêt à être réutilisé. En ce sens, il ne vous faudra pas plus de trois niveaux pour votre lombricomposteur.

Quelle conduite tenir en cas de survenue d’un problème ?

Votre conduite dépendra de la situation à laquelle vous êtes confronté. Le plus souvent, il s’agit d’odeurs désagréables, de colonisation du lombricomposteur par des mouches à fruit entre autres des insectes, ainsi que de délocalisation des vers sur les parois. Lorsque des odeurs nauséabondes surviennent, ceci signifie qu’il s’agit d’un certain équilibre qui a été rompu.

Pour remédier à ce problème, vous pouvez réduire la quantité de déchets que vous déversez, augmenter la population de vers, apporter de façon intermittente des matières carbonisées, ou brasser et aérer adéquatement le contenu. Quant à la colonisation du milieu par d’autres insectes, vous pouvez la prévenir en veillant à ce que le couvercle du lombricomposteur soit bien maintenu en place.

Enfin, lorsque vous remarquez que les vers quittent leur milieu, c’est qu’ils ne s’y sentent plus à l’aise. Vous devez donc aérer adéquatement l’intérieur, ajouter du papier journal à la litière lorsqu’elle est trop humide ou des coquilles d’œufs écrasés lorsqu’elle est trop acide. L’entretien de votre lombricomposteur est essentiel pour réussir, même si cela peut paraître contraignant au début, mais vous finirez bien par apprécier le résultat.

Selon les différents organismes de protection de l’environnement dans le monde, une personne produirait en moyenne une demi-tonne de déchets chaque année. En France, diverses actions sont déjà mises en place pour encourager la population à être éco-responsable. Parmi ces actions, on distingue l’utilisation de bouteilles ou de poubelles de tri sélectif. Découvrez comment choisir ce qui vous convient en ligne.

Choisissez un site qui respecte et possède tous les codes de couleurs requises

Le tri est un geste éco-responsable qui consiste à séparer les déchets selon leur nature. Cette action permet de réduire au maximum la quantité de déchets non-recyclables. L’impact environnemental est alors limité. Si vous avez décidé d’adopter le tri sélectif, vous pouvez acheter des bouteilles ou poubelles spécifiques sur les sites de vente en ligne. Les poubelles ont une plus grande capacité de stockage que les bouteilles.

Aussi, assurez-vous que le site de vente possède tous les codes de couleurs de bouteilles ou de poubelles requises au tri sélectif (comme sur www.terface.com). Ces codes de couleurs sont les mêmes au niveau national et européen.

Faites attention aux descriptions sur le site

N’hésitez pas à vérifier si les informations sur le site sont véridiques. Pour cela, croisez plusieurs sources d’infos sur ce qui se pratique effectivement en termes de tri sélectif. Par exemple, il ne devrait pas exister d’autres codes de couleurs à part ceux listés précédemment. Cela devrait être le cas sur tout le territoire européen. Par ailleurs, il faut savoir identifier quels sont les déchets recyclables et les déchets non-recyclables. Si un site vous propose un autre code de couleur pour ces derniers, fuyez !

En effet, les détritus non-recyclables sont envoyés dans des structures de réemploi, comme pour les jouets en plastique usés par exemple. Les lampes, les piles, les appareils électriques et électroniques doivent être retournés dans les points de collecte des distributeurs. Pour vos vêtements et chaussures, vous pouvez les donner à une association caritative. Les médicaments doivent être retournés à la pharmacie, qu’ils soient périmés ou non. Pour les déchets volumineux et encombrants, vous pouvez les laisser de côté et attendre les jours d’enlèvement régulier qui sont prévus par la commune ou la mairie.

Les autres caractéristiques à vérifier

Avant de faire votre choix définitif, vérifiez s’il existe plusieurs gammes de produits disponibles sur le site de vente. En effet, il existe plusieurs gammes de poubelles de tri sélectif, selon leur capacité de stockage et leur design.

En guise d’exemple, il y a les bouteilles ou corbeilles, qui ont une capacité de stockage de 40 à 50 L de déchets. Les poubelles ont une capacité au-dessus de 50 L. En ce qui concerne la poubelle tri selectif design, il existe des poubelles avec cendrier, des poubelles à pédale. Les formes peuvent être rondes, carrées, rectangulaires, etc.

Avant de commencer tous les travaux dans votre maison que ce soit nouvelle construction ou aménagement d’une pièce, vous devez savoir à l’avance la liste de tous les matériels nécessaires. Vous devez aussi faire une petite vérification du mode de construction que vous voulez choisir. Le style de construction le plus tendance est la construction écologique qui vise à minimiser tous les résidus polluants. La peinture figure parmi les matériels qui apportent le mode écologique à vos travaux de construction. Plusieurs entrepreneurs optent pour la peinte à base de composant naturel pour assimiler le style de vie écologique.  

Quelques astuces pour choisir la peinture écologique qui vous convient,

La peinture est la dernière signature qui fait vivre une maison. Une maison ayant une bonne peinture est une maison très soignée lors de sa construction. Le fait de choisir une peinture éco-responsable pour peindre vos murs montre que vous participez à la préservation de l’environnement. Quelles sont les astuces nécessaires à suivre pour choisir la meilleure peinture écologique ? Tout d’abord, la peinture écologique est une peinture comportant des matières ou substances naturelles et qui sont renouvelables. Pour maîtriser l’art de choisir la bonne peinture, il faut suivre les règles suivantes concernant les informations de base de la peinture. Il faut apprendre le décryptage des pictogrammes pour savoir tous les composants et aussi les risques de dangers. Si vous voulez avoir une peinture bien réussie alors, privilégiez le choix d’une peinture dégageant du solvant. Lors de l’achat des peintures écologiques, soyez très attentif en vérifiant tous les composants de base de votre peinture en commençant par les composants d’origine. Vous devez aussi bien vérifier la teneur en COV pour qu’elle soit très faible. Sur www.unikalo.com vous aurez les informations similaires qu’il faut connaître sur la peinture écologique.

Quels sont les avantages de choisir une peinture écologique pour vos travaux de construction ?

La peinture à base de composant renouvelable est une peinture très idéale surtout si vous optez pour le style écologique dans votre mode de vie. Dans ce cas, tout ce que vous faites vise tout à la préservation de l’environnement et de la nature. C’est un acte très responsable. Quels sont les avantages à bénéficier lors du choix d’une peinture écoresponsable ? Plusieurs personnes optent pour une peinture biosourcée comme peinture d’intérieur à cause de ses vertus remarquables. La peinture écologique est une penture qui vous préserve en bonne santé par ses composants qui sont tous d’origine naturelle. La peinture écologique ne contient aucune substance ou dérivée chimiques par lesquelles elle est très conseillée pour la chambre des bébés et des personnes qui ont des problèmes respiratoires. La peinture écologique vous aide à être responsable envers l’environnement puisqu’elle produit moins de déchets et ces déchets sont tous biodégradables en même temps. Du point de vue technique, il est très conseillé de choisir la peinture éco, puisqu’elle a une propriété couvrante et aussi perméable.

Comment savoir si une peinture est de type écologique ?

Parfois, certaines personnes et surtout les consommateurs ne savent pas comment reconnaître si une peinture est de type écologique. Pour éviter l’escroquerie pendant l’achat de votre peinture écologique, vous pouvez vérifier vous-même si elle est écologique. Comment faire pour le savoir ? Chaque peinture dite écologique est étiquetée sur l’extérieur d’un logo spécialisé en produits écologiques. Cet affichage montre que le produit contenant dans le pot a été certifié écologiquement. L’affichage vous permet aussi de savoir qu’il y a réduction totale de la quantité de déchets lors de son utilisation a mis surtout lors de sa fabrication. Sur l’étiquette, vous devez aussi remarquer le taux de COV émis par la peinture et ce taux doit être le plus faible pour qu’elle soit qualifiée peinture écologique.

En ce moment, l’industrie de la mode et du textile a un lourd impact environnemental. Fabriquer des vêtements implique la fabrication de textiles synthétiques, la plantation du coton ou le tissage de la laine. Pour cela, il est essentiel de réfléchir à des solutions permettant de rendre la mode ainsi que l’industrie de l’habillement plus écologique. Il est possible aujourd’hui de s’habiller à la mode en étant éco responsable. De nombreuses marques de vêtements écoresponsables apparaissent également. Mais, c’est quoi la mode éthique ? Pourquoi s’habiller écoresponsable ? Et comment être à la mode tout en étant écoresponsable ?

La mode éthique habille les grands et les petits

L’industrie du textile et de l’habillement est de nos jours l’une des plus polluants au monde. Avec le nombre de vêtements fabriquée par an dans le monde, elle a un impact négatif sur l’écologie. De plus, les vêtements jetés polluent bien encore plus l’environnement. Cependant, il est possible de s’habiller à la mode en restant écoresponsable.  Consommer mieux et s’habiller mieux, c’est aussi une tendance durable. La tendance de consommer éthique se présentait comme une tendance vraiment durable. La mode éthique n’est plus, en ce moment, une niche de marché. Elle s’adresse aux parents, aux enfants, aux hommes et aux femmes désireux de s’habiller durable en adoptant y style et convictions citoyennes. En portant, par exemple, une robe éthique, vous pouvez être stylée en restant dans la mode qui respecte l’environnement avec une robe coton femme. De plus en plus de vêtements sont fabriquée dans les normes qui respectent l’écologie afin de limiter les dégâts environnementaux.

Pourquoi s’habiller écoresponsable ?

De nouvelles marques éthiques ainsi que de nouveaux concepts écoresponsables apparaissent chaque jour. Cela témoigne que de plus en plus de personnes cherchent mieux consommer jusque dans leur garde-robe. En effet, dans nos vêtements tout pollue. Les éléments avec lesquels sont fabriqués les tissus sont mauvais pour notre planète. Les matières pour fabriquer du polyester sont néfastes comme les colles, les pesticides dans le coton, etc. Il y a également le transport, la destruction finale des vêtements et les rejets de microfibres à chaque lavage. Ce sont énormément de raisons qui poussent à protéger l’environnement et à s’habiller écoresponsable.

Ensuite, il est tout à fait possible de rester à la mode, même avec des vêtements de seconde main. Il existe maintenant des marques durables et responsables qui proposent des vêtements éthiques et de qualité. Le prix peut être plus bas, mais la qualité est bien plus intéressante. Acheter une robe coton bio est alors bien plus avantageux qu’acheter une robe à coton synthétique car la première est moins chère et écoresponsable.

Comment s’habiller à la mode tout en étant écoresponsable ?

Il est plutôt urgent de changer vos habitudes afin de mieux limiter les effets néfastes de la consommation sur la planète. Cela commence donc par votre façon de s’habiller. Tout d’abord, il faut acheter moins de vêtements, mais acheter mieux. Pour cela, il faut privilégier des habillements de grande qualité et qui durent comme une robe coton pour femme par exemple. Une robe à coton bio est très écoresponsable dans la mode éthique. De plus, elle s’avère être très à la mode en ce moment. Vous devez vous tourner vers des marques spécifiques produisant des tissus à l’aide des matières recyclées.

Ensuite, apprenez à bien entretenir vos vêtements correctement afin de les garder plus longtemps.  Cela augmente bien évidemment la durée de vie de vos vêtements. Puis, vous devez utiliser des vêtements de seconde main. Il existe plusieurs styles d’habillement à la mode dans les vêtements de seconde main. Ainsi, vous pouvez parfaitement être stylés et à la mode. Il est aussi possible d’avoir des vêtements de grandes marques écoresponsables. Optez également des habits bon teints afin d’éviter les traitements chimiques polluants. Pour réduire l’empreinte carbone, vous devez vous habiller avec des habillements locaux.  Ainsi, vous pouvez aussi vous habiller de manière stylée avec de petit budget.

Où trouver des marques de vêtements écoresponsable ?

La mode éthique est devenue tendance ces dernières années. De plus en plus de personnes choisissent la mode responsable et durable. De ce fait, plusieurs marques de vêtements apparaissent en ligne. Il n’est pas aussi facile de faire le tour de quelques boutiques en ligne afin de trouver des habits vraiment tendances. Que ce soit pour les enfants, parents, femmes et hommes, il existe généralement tous les styles que vous voulez. Les boutiques de seconde main sont également nombreuses sur internet. Ainsi, vous pouvez acquérir des produits durables et à la mode.

Le chauffage joue un rôle important dans les dépenses d’une famille, qu’il soit électrique, au gaz, au fuel ou au bois. Cependant en choisir un correspondant à vos attentes en termes de budget, de confort et surtout d’environnement soulève de nombreuses questions. De ce fait, il est préconisé de changer la façon dont on chauffe la maison et opter pour un chauffage économique et écologique, garantissant un confort thermique et des économies d’énergie, notamment un appareil de chauffage au bois. En voici quelques conseils.

 

Le chauffage au bois

 

Le chauffage au bois est un système de chauffage de l’intérieur d’une maison très économique et écologique, alimenté par des granulés, connus sous l’appellation « pellets », ou des bûches. Ce système fait partie des styles de chauffage le plus propres ayant un impact limité sur l’environnement, sous réserve d’utiliser des appareils récents rejetant moins de composants nocifs. Avec des bois d’énergie de qualité au chauffage durable et efficace comme les bûches premium Crépito, qui s’adaptent à tous les types d’appareils : inserts, poêle, chaudières, etc., ou les bûches de bois densifiées résineux, simples et pratiques, idéales pour un chauffage au bois confortable. Pour plus de détails, consultez ce site : combustibles-gruchy.fr, qui est spécialisé dans la vente de granulés de bois et de bois de chauffage.

 

Quels bois de chauffage choisir ?

 

Que ce soit pour une cheminée ou pour un poêle, le chauffage au bois procure de nombreux privilèges et diffuse une chaleur douce et agréable, Il est donc important de choisir un bois de chauffage de qualité (bûches ou granulés) pour chauffer durablement et efficacement l’intérieur de votre habitat, pendant toute l’année. En effet, avec les granulés de bois, en forme de petit bâtonnets composé de sciure de résineux, en hiver, vous obtiendrez un chauffage optimal avec un incroyable pouvoir calorifique, comme les granulés de bois Piveteau, ce combustible est réputé pour sa performance thermique, ou encore les granulés de bois Eo2, destiné aux inserts, poêles et chaudières à bois appropriés aux granulés, des combustibles économiques, efficaces pour un chauffage optimal. D’un autre côté, les bûches garantissent une durée de chauffe bénéfique et optimale, comme les bûches densifiées rondes Crépito par exemple, qui offrent une énergie incomparable.

 

Pourquoi opter pour le chauffage au bois ?

 

Le chauffage à bois présente de multiples avantages. D’abord, son énergie n’intensifie pas l’effet de serre, ce qui fait que ce type de chauffage est responsable et économique comparé à celui du gaz et l’électricité. En outre, les bois de chauffage, notamment les bûches, sont issus de bois français qui ne recèlent aucun produit chimique, tels que les bûches de jour et celles de nuit, comme les bûches de nuit compressées Breizh, sans liant ni additif, issues de sciures de bois non-traités et recyclés et de copeaux, permettant d’obtenir des braises qui se garderont toute la nuit. En somme, le chauffage au bois a des combustibles complètement renouvelables et une faible émission de gaz. Par ailleurs, ce système représente quelques inconvénients. Il nécessite un entretien annuel et les ramonages sont obligatoires, il exige également un espace suffisant à l’intérieur de la maison pour stocker les bois ou les granulés.

Les engrais organiques proviennent de la transformation de matières vivantes qu’elles soient d’origine animale, humaine ou végétale. Ce type d’engrais est bon pour l’environnement, mais il faut cependant éviter de se ruiner en prenant en compte le budget de la maison. (suite…)

Plan du site