Publié le : 22 juin 20215 mins de lecture

L’agroécologie regroupe l’ensemble des théories et pratiques agricoles inspirées par le souci écologique et la science agronomique ainsi que l’univers agricole. Autrement dit, celle-ci concerne l’agriculture, l’agronomie, l’écologie ainsi que des mouvements sociopolitiques à des fins écologiques.

Découvrir les différents types de pratiques agroécologiques

Les principales pratiques en agriculture responsable sont : l’accroissement de la biodiversité, l’agroforesterie, l’aménagement, le couplage de l’élevage avec la production végétale, l’économie et la modération de l’utilisation en eau et irrigation, l’enseignement agricole adapté aux acteurs agricoles, la fertilisation du sol, les haies vives, la lutte biologique par acclimatation ou inondation, la présence des antagonistes pathogènes, le reboisement des milieux agricoles non utilisés, la réhabilitation des expériences traditionnelles et de la gestion écologique économique, la sélection des produits agricoles en adéquation avec les terrains agricoles, la source d’énergie animale et mécanique, le traitement phytosanitaire naturel, le travail du sol et l’utilisation des plantes comme barrière physique.

En effet, le développement de la biodiversité requiert l’utilisation de la culture associée et la rotation longue pour éviter les monocultures et profiter de la complémentarité des milieux écologiques des différentes espèces. Par contre, l’agroforesterie permet de diversifier les productions, encourager les auxiliaires de culture, fixer l’azote dans les arbres légumineux et gérer les flux hydriques. Puis, le besoin en aménagement permet de maîtriser l’usage des eaux de pluie, lutter contre l’érosion des sols et renforcer la qualité des nappes phréatiques. Aussi, le recours à la pratique du couplage de l’élevage associé avec la production végétale permet de multiplier la production, utiliser les déjections à titre de fertilisant, fournir un moyen de travail et mettre en valeur les résidus de la culture ou les déchets de l’alimentation, voire les espaces à végétation spontanée… Pour en savoir davantage, veuillez suivre ce lien terresagricoles.fr.

Avantages de faire appel à un expert en la matière.

L’expert en question peut vous fournir des conseils ou se former en pédagogie agricole, voire vous recommander des produits agroécologiques appropriés. À savoir, les matériels agricoles, les semences bios, les produits phytosanitaires naturels, la protection de la vue ou respiratoire ou corporelle ou autres. Puis, lesdits produits ou matériels sont fabriqués suivant les normes techniques et légales. Sachez que ceux-ci sont désormais disponibles-commercialisables-commandables en ligne ou physique… Aussi, vous pouvez également mieux comprendre les différentes pratiques agroécologiques. À savoir, le recours a l’agroforesterie, le couplage de l’élevage avec la production végétale, la meilleure sélection des produits agricoles adaptés, la fertilisation du sol, la gestion écologique et économique, le travail du sol, l’utilisation des plantes…

Comprendre l’importance de l’agroécologie pour l’environnement

En premier lieu, il faut comprendre le sens de l’environnement avant de découvrir sa relation avec l’agriculture biologique. En effet, l’environnement désigne l’ensemble des composants (biotique et abiotique) naturels, des activités humaines et les organismes vivants qui interagissent sur l’atmosphère ou l’air ou l’eau ou les espèces animales-végétales et la terre. En second lieu, l’agriculture durable est un ensemble de théories et pratiques conçues pour préserver l’environnement. Pour ce faire, le travail du sol (le non-labour, le paillis, etc.) permet de maintenir les espèces animales ou micro-organismes vivant dans les horizons du sol. Par contre, la fertilisation du sol, par le biais du compost ou du digest ou des engrais verts, et l’agroforesterie garantissent l’alimentation hydrique durable. Puis, le traitement phytosanitaire naturel (comme le push-pull ou le recours aux cultures associées ou autre) s’inscrit dans la lutte contre certains parasites. Aussi, l’usage des plantes à titre de barrière physique permet de limiter le déplacement des ravageurs. En dernier lieu, pour améliorer la qualité du sol, il va falloir introduire des antagonistes pathogènes et ravageurs telluriques, pratiquer les lâchers inondation ou acclimatation, associer différentes variétés adaptées aux zones cultivées, faire des haies vives, reboiser ou régénérer les zones agricoles non utilisées pour ainsi créer des nourritures humaines ou de la pharmacopée naturelle ou des sources combustibles…