Depuis plusieurs années, le nombre des voyageurs dans le monde ne cesse plus de croître. Malgré tous les multiples avantages que le tourisme apporte, celui-ci reste une activité très nocive pour la société et l’environnement. Or, la préservation de cet environnement est l’affaire de tous. De ce fait, nous devons protéger notre environnement pendant notre voyage. Pour ce faire, voici quelques astuces qui peuvent vous aider durant vos trajets pour effectuer un voyage écologique.

Comment choisir le bon moyen de transport pour voyager de manière écologique ?

Sachez que chaque moyen de transport émet du CO2. Pourtant, certains moyens de transport polluent plus l’atmosphère que d’autres. Tout d’abord, il faut éviter de prendre un avion pour les trajets inférieurs à 1.000 km. Limitez au maximum le poids du bagage sur un vol. Ensuite, pour le déplacement à une longue distance, il est favorable de voyager à travers le train. De même, pour circuler en ville, le transport en commun comme le bus et les autocars semblent très avantageux. Les gens qui doivent effectuer le même trajet choisissent le covoiturage. Enfin, le vélo pourrait être excellent pour visiter des lieux sur des courtes à moyennes distances. Optez pour un voyage moins loin et plus lentement.

Quelles sont les bonnes attitudes à prendre pour voyager de manière écologique ?

Lorsqu’on voyage, certaines petites actions s’avèrent utiles pour minimiser l’empreinte écologique. Il faut emmener une gourde réutilisable de préférence avec filtre. Apprenez à consommer des aliments auprès des marchés locaux. Privilégiez les emballages réutilisables pour les achats des produits étrangers. Pour respecter la nature, évitez de laisser les déchets sur l’endroit qu’on vient de visiter. Les déchets doivent être ramenés dans un sac pour inciter les autres à ne pas polluer. Portez une attention particulière à tout ce que vous faites parce que chaque geste influence la planète. En effet, la protection et la conservation de l’environnement passent par l’information des autres et surtout l’éducation des enfants. Explorez des forêts ou des plages paradisiaques sans laisser de traces.

Quel type de logement doit-on choisir pour voyager de manière écologique ?

Évidemment, après une longue journée de visite, il faut se reposer dans un endroit idéal. Selon le budget que le voyageur dispose, de multiples choix sont disponibles tels que les différents hôtels de différentes catégories, les gîtes, les auberges de jeunesse, les campings ou encore les logements locaux. Il est plus conseillé de privilégier ce dernier cas. Pour les personnes qui préfèrent résider dans un hôtel, cherchez un hôtel possédant les labels de qualité. Campez dans une nature exotique pour le plaisir du voyage. Sans oublier de faire prendre conscience aux enfants le danger que représente le feu dans un milieu naturel. Pour le bien de l’environnement, agissez toujours de façon respectueuse et plus responsable.

La pollution atmosphérique causée par le transport a considérablement augmenté par rapport à la pollution industrielle. La qualité de l’air en ville étant sévèrement affectée suite aux pics de pollution plus fréquents, les solutions de déplacement propres deviennent de plus en plus attirantes afin de réduire l’impact environnemental des transports. Les moyens de transport écologique sont diversifiés selon la taille de la ville et peuvent se révéler économiques, rapides tout en restant confortables.

Tramway, le retour

Évincé depuis les années 1960 par l’avancée technologique et l’amélioration des véhicules individuels, le tramway retrouve progressivement une place conséquente dans le domaine du transport public. Cette méthode de transport combine à la fois le mode de déplacement du train et le système de multiples arrêts de l’autobus. Le tram fonctionne à l’électricité et demeure écologique ainsi que durable en tant que moyen de transport dans une grande agglomération.

Circulant à une vitesse moyenne de 20 km/h, le tramway est significativement plus rapide qu’un bus et reste capable de transporter un nombre plus important de passager, tout en étant insensible aux phénomènes d’embouteillages affectant les véhicules à moteurs. De ce fait, ces derniers sont souvent ponctuels et les risques d’accidents sont également réduits. Toutefois, en cas d’accident, la ligne de tramway sera interrompue partiellement ou entièrement.

Le transport classique : le bus

L’autocar est le mode de transport écologique par excellence sur la route, et permet notamment de diminuer le nombre de voitures en donnant la possibilité de transporter plusieurs passagers. Sa consommation de carburant est relativement basse (entre 0,6 L à 0,9 L de diesel tous les 100 km) et s’accompagne d’un faible rejet de gaz à effet de serre.

Dans les milieux urbains, le bus est un véhicule hybride et fonctionne avec du carburant doublé d’un moteur électrique. La transition vers des bus circulant uniquement sur l’énergie électrique devra en revanche inclure l’utilisation de batteries supplémentaires, dont le taux de recyclage ne dépasse pas 85 %.

Le vélo : combiner le sport et le déplacement

Le vélo est la solution de transport la plus efficace et la plus écologique (à l’exception de la marche à pied) dans une zone urbaine. En effet, pour une distance comprise entre 1 et 5 km, celui-ci correspond directement au moyen de déplacement le plus rapide et couvrira par exemple un trajet de 3 km en 15 mn avec une vitesse de 12 km/h. L’usage d’une bicyclette permet d’ailleurs de contourner les embouteillages et les évènements stressants du matin, et le gain de temps sera d’autant plus satisfaisant car le vélo représente une activité physique conséquente.

La personnalisation rend le vélo encore plus versatile, telle l’ajout d’un moteur dans le but parcourir des distances plus longues sans se fatiguer. Les risques d’accidents sont cependant accrus pour les cyclistes, et il est recommandé de prendre toutes les précautions nécessaires afin d’éviter de se faire littéralement rouler.

L’octroi d’une toiture végétalisée est fortement recommandé pour le bien-être environnemental de nos jours. Vous pouvez faire appel à des spécialistes afin de garantir la faisabilité de votre projet. Il est tout à fait possible de personnaliser votre toiture végétale aux dépends de votre goût tout en mettant en valeur votre bâtiment.

Qu’en est-il des intérêts écologiques d’un toit végétalisé ?

Dans l’optique de mettre en avant les bienfaits écologiques de l’environnement, vous pouvez opter pour un toit végétalisé. Il s’agit d’une technique existante depuis plus de 10 000 ans. Un grand nombre d’études a montré qu’il s’agit d’un moyen très appréhendé pour la protection de l’environnement et de la biodiversité. La végétalisation des toits séduit le cœur d’un grand nombre de personnes pour restaurer un bâtiment. Force est de constater qu’en octroyant un toit végétalisé, vous vous adonnez à un effort pour améliorer la qualité de l’air. L’habitat durable filtre la poussière ainsi que la saleté présente dans l’air. De cette manière, une grande partie des particules nocives seront absorbées. Cette nouvelle tendance de verdir les toits permet également une réduction des écarts de températures entre le jour et la nuit.

Impact d’une toiture végétalisée envers l’environnement

Une toiture végétalisée peut constituer un bon isolant thermique et phonique dans votre logement. En effet, cette dernière est devenue un isolant connu pour son prix moindre et son efficacité maximal. Dans le cadre d’une rénovation, vous pouvez vous tourner vers une toiture végétalisée pour dissiper les variations thermiques. Par ailleurs, vous vous adonnez à une étanchéité de longue durée. Vous pouvez compter jusqu’à 25 ans avant de devoir rénover à nouveau votre toiture. Le type de toiture végétalisée à choisir dépendra avant tout de la dimension à couvrir. De toute évidence, vous éviterez des dépenses onéreuses tout en vous offrant des effets positifs.

Tout ce qu’il faut savoir concernant l’aspect écologique de la toiture végétalisée

Dans le but de mettre en avant l’aspect environnemental, l’octroi d’un toit végétalisé peut devenir une alternative convaincante. Une toiture végétalisée peut vous permettre une filtration des eaux de pluie tout en débarrassant les polluants existants. Par ailleurs, l’eau filtrée peut être utilisée dans les usages domestiques et quotidiens. En effet, vous pouvez vous en servir hors consommation alimentaire. Mis à part les questions environnementales, les toitures végétalisées offrent un aspect esthétique très attrayant. Vous pouvez personnaliser votre toit végétalisé en fonction de vos besoins et de vos attentes.

Dans le contexte actuel de développement durable et dans le souci de préserver la nature, l’utilisation optimale des sources d’énergie, surtout celles non renouvelables est toujours mis sur le tapis. Dans le souci de toujours consommer moins d’énergie, le concept de maisons passives a été créé.

Qu’est-ce qu’une maison passive ?

Une maison passive est une maison écologique qui ne consomme que très peu d’énergie grâce aux nouvelles installations dont elle est équipée. L’apport du soleil et l’isolation sont optimisés afin qu’elle consomme le minimum en chauffage. Une maison passive est donc conçue de manière à être à peu près autonome, et ne consomme que très peu d’énergie pour chauffage.

Une maison est dite passive quand elle n’a besoin que de 15 kWh/m²/an maximum d’énergie, ne consomme que 120 kWh/m²/an maximum d’énergie primaire, et 60 kWh/m²/an en énergie renouvelable, que l’étanchéité à l’air soit inférieur à 0,6/h et qu’il n’y ait qu’une surchauffe limitée.

Comment avoir une maison passive ?

Pour avoir une maison passive, il faut investir dans quelques infrastructures comme de grandes ouvertures (portes, fenêtres, …), avec une certaine norme afin d’optimiser l’apport calorifique du soleil. Il faut aussi investir dans une isolation plus que renforcée, et dans un système de ventilation à double flux.

Les vieilles constructions peuvent être rénovées. Elles deviendront passives en réunissant les critères techniques requis (dépenses énergétiques, étanchéité, surchauffe).

Comment fonctionne une maison passive ?

Afin d’optimiser l’apport du soleil, un système d’isolation performant : élément-clé dans une maison passive est mis en place.  Cela permet de garder la chaleur à l’intérieur pendant l’hiver, et de faire en sorte qu’elle reste à l’extérieur pendant l’été.

L’utilisation du triple vitrage, ou de fenêtre de très haute qualité joue aussi. En effet, le triple vitrage est un bon début, mais l’isolation de tous les pans y afférents comme les montants est une nécessité afin de rendre la maison étanche et ainsi empêcher l’entrée de l’air froid. L’étanchéité est donc un autre élément-clé afin de rendre une maison passive. En effet, il ne faut pas que l’air (froid) trouve un moyen de s’infiltrer dans la maison.

La maison passive utilise comme moyen de se ressourcer en air frais une ventilation à double flux. Au lieu de faire entrer l’air nouveau et de faire sortir l’air chargé en CO2 par deux entrées différentes, le système à double flux fait entrer l’air propre et sortir l’air chargé de C02 par la même entrée afin qu’il y ait un transfert de chaleur et ainsi une économie d’énergie de chauffage.

Le poêle à bois ou la cheminée à bois constitue, effectivement, un appareil de chauffage que les ménages français utilisent de plus en plus, étant donné que ces derniers possèdent une grande performance énergétique. Qu’il s’agisse d’une cheminée ou d’un poêle à bois, les deux permettent de chauffer des habitations de grande superficie tant que ces dernières sont bien isolées. En ce qui concerne l’efficacité énergétique, il y a, en effet, match nul entre les deux étant donné que le rendement des modèles récents affiche 70 à 85 %. Le match économique et écologique, vous le découvrirez dans l’article qui va suivre.

La solution économique et écologique, le chauffage à bois

L’un des objectifs et avantages du chauffage à bois constitue le coût moins élevé par rapport au chauffage au gaz, au fioul ou électrique. Dans la majorité des cas, c’est cette raison qui pousse les consommateurs à opter pour la cheminée ou le poêle à bois. À part l’aspect économique de ce dernier, il s’avère qu’il est aussi très écologique. Raison pour laquelle, il est question de combustible « éconologique ». En effet, qu’il s’agisse de la cheminée ou du poêle à bois, la combustion du bois montre un bilan carbone qui se traduit par neutre. Cela indique que, lorsque l’arbre croît par photosynthèse, la quantité de CO2 absorbé par celui-ci constitue la même que celle libérée lors de la combustion.

Le poêle à bois avec son système merveilleusement écologique

Lorsque vous optez pour l’utilisation d’un poêle à bois à rendement, élevé, vous choisissez ainsi, un appareil économique et écologique. Pour la simple et bonne raison que, l’appareil de votre choix est doté d’une énorme performance vous permettant encore plus de consommer moins. Puis, économie en énergie veut dire moins de pollution. Afin que l’appareil soit utilisé de manière optimale au quotidien, évitez de le suralimenter ou de le mettre en plein régime. Les poêles à bois comportent un grand nombre d’avantages en termes de chauffage écologique comme : pas beaucoup de fumée et faibles émissions, combustible renouvelable et durable, moins cher, etc.

La cheminée à bois

Il existe de nombreux avantages écologiques cheminée. Cette dernière est facile et pratique d’utilisation, avec un coût avantageux, est économique, mais également très écologique. Ainsi, ce mode de chauffage pas très coûteux vous permet d’économiser, mais également de veiller à la protection de l’environnement. Agréable, efficace et simple, sa capacité de chauffe est également très élevée.

 

Le soleil fournit plus que suffisamment d’énergie pour répondre aux besoins en énergie du monde entier contrairement aux combustibles fossiles, qui seront bientôt épuisés.

Energie Solaire quelles sont les avantages

L’utilisation des panneaux photovoltaïques est l’une des solutions pour produire une source d’énergie solaire, la seule limitation de l’énergie solaire est notre capacité à la transformer en électricité de manière efficace et rentable. Le principal avantage est qu’il s’agit d’une source d’électricité propre et renouvelable. L’énergie solaire est également évolutive. Cela signifie qu’il peut être déployé à l’échelle industrielle ou qu’il peut être utilisé pour alimenter un seul ménage. Lorsqu’il est utilisé à petite échelle, l’électricité supplémentaire peut être stockée dans une batterie ou réinjectée dans le réseau électrique. Dans l’ensemble, le soleil dégage beaucoup plus d’énergie que nous n’aurons jamais besoin, un système de financement a été mis en place pour encourager les ménages de retourner vers cette énergie dite propre.

Comment ça marche et que choisir ?

Les panneaux photovoltaïques convertissent directement la lumière du soleil en électricité. Les cellules d’un panneau photovoltaïque contiennent des matériaux qui absorbent des particules de lumière et émettent des électrons, générant un courant électrique.

Il existe trois principaux types de panneaux :

– panneaux en silicium monocristallin,

– panneaux en silicium polycristallin

– panneaux en couche mince

Parmi les trois types de panneaux, les panneaux en silicium monocristallin sont fabriqués à partir du silicium de la plus haute qualité, ce qui en fait le type efficace de panneau. Ces panneaux convertissent 15 à 20% de la lumière solaire entrante en électricité, ils nécessitent le moins de surface par unité d’énergie produite. Ils sont le type de panneau le plus cher. Toute personne envisageant d’installer un système photovoltaïque solaire doit examiner chacune des options de financement disponibles pour trouver la solution la mieux adaptée.

Quelles sont les options pour réduire son coût ?

Il existe le financement des panneaux photovoltaïques qui s’appelle CITE (Crédit D’impôt Transition Energétique). C’est un dispositif qui a été mis en place par l’état depuis l’année 2007 et sera prolongé jusqu’à la fin de cette année 2019. Si vous souhaitez investir en énergie renouvelable vous-même, il existe de nombreuses façons de le financer. En effet, pour encourager les foyers l’état propose aussi d’autres séries d’aides et financement pour réaliser les projets de chacun, comme le crédit d’impôt, Prime autoconsommation, TVA réduite, les aides régionales, qui vous permettent de mieux financer vos installations. Pour que vos projets soient éligibles aux financements de l’Etat, pensez bien à vérifier à la certification de vos produits.

Il fut un temps où la domotique n’était considérée que comme un luxe, une technologie dédiée aux riches, comme l’ouverture automatique du portail, l’allumage d’une lampe en tapant des mains, etc. Pour information, le mot domotique est formé par la combinaison de « domus » qui veut dire maison en latin, et informatique. Aujourd’hui, il se trouve qu’elle peut grandement participer aux économies d’énergie d’une maison. On parle alors d’économie d’énergie domotique. Mais comment ?

La domotique pour maîtriser sa consommation d’énergie

Ainsi, la domotique permet de gérer les différents appareils et systèmes au sein de sa maison, grâce à une interface connectée. Pour faire simple, imaginez-vous en train de régler un réveil. Celui-ci va alors se déclencher à l’heure voulue, et s’arrêter le moment venu. De la même manière, grâce à la domotique, vous pourrez paramétrer de nombreuses fonctionnalités de votre maison, comme l’allumage et/ou l’arrêt automatique du chauffage, à telle ou telle heure.

Pour rester sur l’exemple du chauffage, la domotique permet aussi, grâce à des capteurs, de couper automatiquement le chauffage lorsqu’une fenêtre est ouverte. Elle permet également de choisir différentes températures d’une pièce à une autre. Par exemple, vous estimez qu’une chambre à coucher n’a pas besoin d’être chauffée à la même température que le séjour, ou que ce dernier n’a pas besoin d’être chauffé lorsque tout le monde dort. Elle est aussi capable de couper le chauffage, le chauffe-eau, les appareils en veille, etc., lorsque la maison est vide. Cela fait alors place à d’importantes économies sur la facture d’électricité.

Plusieurs options au choix

Les possibilités offertes par la domotique sont innombrables. Cela peut aller de la simple gestion de la lumière – pour éteindre automatiquement les lampes lorsqu’il n’y a plus personne dans la pièce, pour augmenter ou diminuer la luminosité – à la gestion de toute la maison (volets électriques, lumières, chauffage et/ou climatisation, sécurité, portail, système d’arrosage, appareils électriques et électroménagers, etc.).

Des subventions pour inciter la population

Les chiffres sont très intéressants : la domotique permettrait d’économiser 25 à 30% sur la consommation en énergie d’une maison. Elle vous permet aussi d’avoir un aperçu en temps réel de la consommation (grâce à des appareils connectés) et ainsi d’identifier les postes de dépenses les plus importants, afin d’y remédier. Par exemple, le chauffe-eau continue à fonctionner alors que tout le monde a déjà pris son bain (ou sa douche).

Il est alors évident que la domotique peut énormément participer aux économies d’énergie, ce qui a aussi un certain impact sur l’environnement. D’ailleurs, le Grenelle de l’Environnement incite la population à se tourner vers la domotique, l’Agence nationale pour l’Habitat ainsi que certaines collectivités locales offrent des subventions, etc.

En raison de la demande croissante d’avocat dans les pays occidentaux, les agriculteurs veulent augmenter la taille de leurs exploitations. La situation pose des problèmes environnementaux, notamment la déforestation et l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre.

Un vrai problème pour l’environnement

La surconsommation d’avocat écologie vire à la catastrophe. De plus en plus d’arbres sont coupés pour fabriquer des caisses de transport pour avocats, ce qui aggrave encore le manque d’eau et détruit les puits de carbone. Des hectares de forêts sont abattues pour faire place à des plantations d’avocats. L’agriculture intensive contribue par nature aux émissions de gaz à effet de serre et exerce une pression sur les ressources en eau locales.

Des lits de rivières asséchés

La production de ce fruit nécessite beaucoup d’eau, il faut jusqu’à 1 000 litres d’eau pour produire 1 kg d’avocats, soit environ 3 avocats. Les cours d’eau naturels et les sources d’eau des espèces animales locales sont détournés. Les lits de rivières sont asséchés depuis longtemps. Dans certain pays, l’eau est privatisée, c’est donc une marchandise. Ceux qui paient le plus peuvent obtenir des licences d’eau, même à vie, la surconsommation d’avocat écologie met en jeu le bien être de toute une population. Ainsi, pendant que les populations locales survivent avec de l’eau acheminée par camion, des dizaines de milliers d’hectares de plantations d’avocats sont arrosés par des réservoirs artificiels.

Les gestes à adopter pour préserver l’environnement

Il y a quelques solutions pour rendre nos gestes écologique. Les agriculteurs peuvent faire beaucoup pour développer leurs cultures de manière plus durable, comme minimiser autant que possible l’utilisation d’engrais, de pesticides et d’eau en l’utilisant avec plus de précision et en adoptant des technologies agricoles modernes pour améliorer l’efficacité et réduire les émissions de gaz à effet de serre. Il y a aussi la part de responsabilité des consommateurs. Plus on en mange loin du lieu de production, plus l’impact sur l’environnement est grand. L’empreinte carbone d’un avocat dépend de la façon dont il a été cultivé et de son transport. Faut-il arrêter la surconsommation d’avocat écologie ? Ou changer nos régimes pour un produit plus durable ? Tout geste écologique peut aider à préserver notre environnement. Pour ne pas basculer dans l’extrême ni culpabiliser, il faut faire un achat réfléchi. Une fois que vous avez acheté un avocat, la meilleure chose à faire est de vous assurer qu’il ne soit pas gaspillé.

L’élevage d’une poule offre de nombreux avantages pour votre jardin ainsi que le monde entier. Elle réduit les déchets au quotidien, c’est pourquoi elle apporte une grande faveur pour la planète et l’environnement. Cet article vous permet de découvrir plus d’informations.

Les poules sont des animaux écologiques

L’élevage de poules n’exige pas de gros investissements financiers. De plus, il y a de nombreuses raisons de le faire comme l’avantage écologique poule… Sachez qu’elles sont des animaux omnivores qui mangent presque tout. Elles se font plaisir en dévorant tous vos déchets alimentaires et organiques (fromages, pain, viande, épluchures…). Notez qu’une poule peut éliminer jusqu’à 150 kg de déchets dans une année. Donc, elle peut détruire et limiter vos ordures ménagères. C’est pourquoi elle diminue les impacts négatifs sur l’environnement et la planète. Alors, si vous voulez aussi sauver le monde, la simple et meilleure solution c’est d’opter pour l’élevage de poules.

Autres avantages à l’adoption des poules

Élever des poules vous aide à couvrir le besoin journalier en œufs de la famille. En plus, vous pouvez avoir des œufs frais. Cela vous permet ainsi de faire plus d’économie. Faites le compte, au lieu d’en acheter au magasin toutes les semaines, vous en avez gratuitement au quotidien. À part cela, les poules luttent contre les insectes de votre jardin et donnent des engrais biologiques. Alors, si vous souhaitez avoir des fleurs saines ou même des fruits et des légumes, pas besoin d’aller acheter ailleurs. Il vous suffit de composter les excréments de vos poules. N’oubliez pas que vous pouvez avoir aussi des animaux de compagnie lorsque vous élevez ce type de volaille. Les poules sont affectueuses et très attachantes.

Comment élever des poules ?

Tout d’abord, n’achetez pas une seule poule parce que ce sont des animaux sociables. Donc, il faut élever deux poules au minimum. Ne choisissez pas non plus des poussins, mais plutôt des poules de 5 à 6 mois. À cet âge, elles sont déjà prêtes à pondre, alors pas besoin d’attendre longtemps. Donnez-les de la nourriture, même si elles mangent déjà vos déchets alimentaires. Vous pouvez les donner par exemple des graines et les laisser promener librement dans votre terrain. Et concernant l’entretien de la basse-cour et ses accessoires, vous devez les prendre soin régulièrement. Par exemple, nettoyez et désinfectez les mangeoires et les perchoirs au moins chaque semaine. Notez aussi que vous ne devez pas oublier de renouveler la litière.

Tous les jours, nous buvons l’eau contenue dans des bouteilles en plastique. Le premier réflexe après l’avoir terminé, c’est de jeter le contenant. Imaginez un peu, 7 milliards d’être humain sur terre font ce geste quotidiennement. C’est une production de déchets beaucoup trop excessive. Chaque effort compte, c’est pourquoi il faut apprendre à réduire son utilisation de plastique.

Le recyclage ne suffit plus

Le saviez-vous ? Le plastique met environ 500 ans à disparaître. Pourtant, les bouteilles, les sachets et les pailles en plastique sont les premiers achetés que l’on retrouve dans les océans. Surtout que même en jetant nos bouteilles dans la poubelle, une bonne partie finit dans la nature. D’ailleurs, tout le monde ne les recycle pas correctement. Certains ne font que jeter dans la poubelle de tri, pourtant il y a des gestes à faire avant, pour que le recyclage soit efficace. C’est bien beau de recycler, mais vu la montagne de déchets à laquelle notre génération est confrontée, ce n’est plus suffisant.

Utiliser moins de bouteilles en plastique n’est pas si difficile

Pour la maison, installez un filtre à eau. Si vous vivez dans un endroit où l’eau contient trop de calcaire, cela peut vous être utile. Ainsi, utiliser l’eau du robinet que vous pouvez stocker dans une carafe. Des filtres naturels comme le charbon noir peuvent, vous être utiles. Mais pour dire adieu aux bouteilles en plastique, acheter des gourdes en inox, en verre ou en acier. Il y en a de toutes les formes, les couleurs et les tailles que vous désirez. Si vous avez des enfants, il existe des modèles pour eux aussi. Voyez à quel point il est facile de réduire bouteille plastique. Le plus difficile reste l’ancrage des nouvelles habitudes.

Que faire en plus ?

La lutte contre les emballages en plastique doit se faire quotidiennement, et pas uniquement sur les bouteilles. Certes, il est difficile de ne plus du tout en utiliser, mais l’important est de savoir le limiter. Pour faire vos courses, emmenez vos propres contenants comme des boîtes en silicone ou des bocaux. Notamment, car de plus en plus d’enseigne propose d’acheter des légumes en vrac, des céréales ou encore de la farine. Privilégiez les tote-bags et les pochons en toilette pour ne plus utiliser des sacs plastiques. Dîtes non aux pailles dans les restaurants, ou emmenez le vôtre en bambou ou en métal. Autant de gestes qui peut changer les choses.

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